L’industrie pétrochimique française croît lentement mais présente effectivement quelques statistiques alléchantes. Ces mêmes statistiques témoignent qu’elle constitue une valeur sûre pour la nation. L’industrie chimique influence grandement tous les secteurs de l’économie. Vous voulez sûrement savoir quels sont les chiffres attestant cela. Ce texte aborde le sujet de l’importance de cette industrie mais aussi de son rendement en France.
Le secteur industriel chimique français : une machinerie bien diversifiée
Bien que basée sur l’usage du pétrole, l’industrie pétrochimique est partagée en plusieurs sous-secteurs :
· La chimie minérale
· La chimie organique
· La chimie fine
· La chimie basée sur une spécialité
· La chimie des produits d’entretien.
Chacun de ses sous-secteurs influence énormément l’avancée dans ce domaine. Que cela soit par les innovations ou des décisions améliorant la rapidité des travaux, ils sont tous importants pour une amélioration de l’industrie pétrochimique.
Le pétrole et les entreprises françaises
En France, quelques entreprises se chargent de fournir du matériel et des services en rapport avec l’industrie pétrochimique. AT2I fait partie de celles-ci.
Cette entreprise fournit des services de maintenance industrielle ainsi qu’une tuyauterie utilisée pour le transport du pétrole. Il faut aussi ajouter que ladite entreprise possède de nombreux secteurs y compris l’agroalimentaire. Toutefois, ce qui attire notre regard ici, est le fait que AT2I possède également un secteur chimie et pétrochimie.
Excepté cette entreprise, elles sont au total 103, les entreprises fournissant des dérivés pétroliers en France. Il s’agit en l’occurrence de AGGREKO FRANCE, MECASEM ou encore PLANETA FRANCE SAS.
Quelques statistiques pour se faire un avis
Ici vous aurez un aperçu des variations de la production chimique sur plusieurs années.
2015 : une année relax pour l’industrie chimique en France
Incontestablement, la Chine demeure depuis plusieurs années le plus grand producteur chimique mondialement connu. Une étude réalisée en 2015 nous renseigne que la France était classée septième sur le plan mondial. En Europe, elle se plaçait au poste de deuxième derrière L’Allemagne.
En 2017, l’industrie Chimique en France présentait un chiffre d’affaires de presque 70 milliards d’euros. Les spécialités chimiques et la chimie organique constituaient au total 3,5 % de la production en volume. Il était plus que pratique d’effectuer une installation industrielle.
Activité relativement réduite en 2020
La France a connu une forte baisse de revenus sur l’industrie chimique. En excluant le secteur de la chimie fine, l’industrie toute entière a connu une baisse de 8 à 9%. Avec cette situation, la France était classée comme une des nations dans le rouge. Vous conviendrez que cette baisse est due à la crise sanitaire mais cette baisse est énorme comparée à celle Allemande.
Durant cette période, le point culminant des pertes a été atteint en avril. Un mois durant lequel le rendement a été de -22% comparé à celui de février. Il a fallu la levée des restrictions sanitaires pour que la production reprenne bonne mine avec une remontée de +6,7%. Cette remontée qui a eu lieu du 2eme au 3eme trimestre va se poursuivre jusqu’au dernier trimestre malgré l’annonce d’une nouvelle crise.
Cette année a été marquée par l’effondrement des volumes dans la catégorie savons. Avec la crise, la production en pharmacie a été privilégiée par rapport aux produits tels que le fioul domestique.
La transition pétrolière de 2021 à 2022
L’industrie pétrolière de schistes fournit le marché ce qui favorise la baisse de la valeur du baril sous l’effet de l’abondance de l’offre, ce qui ne lui permet pas d’être rentable. Le domaine prend de meilleures proportions avec de nouvelles demandes de pétrole constatées en 2021, à la suite de la suppression des restrictions.
Le nombre des faillites enregistrées au niveau des producteurs a diminué dès le premier trimestre. Parmi les quelques faits essentiels à connaître, notez que la demande prévue pour 2022 est colossale.
Concrètement, l’industrie pétrochimique française a connu des périodes de grandes productions avant de subir l’épreuve covid. Il est toutefois prévu qu’elle remonte en flèche.